Le repas de la confrérie des bérets fraisés |
DISCOURS PRONONCE LORS DE LA REMISE DES FRAISES D'ARGENT A REGIS ET BIBINO
Cher Fraisé(e)s,
Mes compères et moi-même
sommes très heureux d'avoir pu réunir ce soir autant de membres de notre
honorable Confrérie.
Les absents sont d'ores et déjà
excusés. En effet, comme vous le savez, certain d'entre nous ont émigré vers
des cieux plus ensoleillés. Ceci dit, ils n'en oublient pas pour autant leurs
devoirs puisque certains des fraisée absents ce soir nous ont fait parvenir une
participation financière pour nos libations.
Nous sommes maintenant 42
fraisés dont 4 femmes … c'est loin de faire la parité mais c'est le
pourcentage de l'assemblée nationale … on a les modèles que l'on peut .
La Confrérie a maintenant 13
ans, elle n'est plus une enfant, c'est maintenant une jeune adolescente. Mais
c'est une adolescence qui se passe plutôt bien, car si les pères changent, si
le nombre de membres augmente, l'esprit reste.
Pour témoigner de la pérennité
de cet esprit béret fraisé, le comité paritaire ici présent a décidé de créer
un titre honorifique destiné à célébrer certains anciens pères ayant été
à l'origine de la création de notre Confrérie et qui ont continué années
après années à œuvrer pour l'ESML.
Ils sont deux à être élevés
au rang de "Fraisés Honoraires".
Ils vont donc recevoir la
Fraise Argentée – la décoration suprême destinée aux Fraisés
Honoraires.
A cet égard, nous tenons à
remercier Sylvain Taine qui a façonné cette superbe décoration.
- Le 1er de ces
Fraisés Honoraires, nous ne sommes pas en mesure de vous donner sa date d'entrée
au club puisqu' à l'époque l'écriture n'existait pas.
Nous appelons Bibino qui va
se faire remettre sa décoration par Jérôme.
- Le 2d de ces Fraisé
Honoraires, il détient toujours un record important et d'où il est quasi indéboulonnable
: meilleur buteur Landais de l'histoire du club.
Nous appelons Régis qui va
se faire remettre sa décoration par Boub.
Nous espérons qu'ils
arboreront fièrement ces distinctions pour les grandes occasions esmeliennes.
Que tout ceci ne fasse oublier à personne les obligations de l'article 10.